Prix de Poésie du Jury des Trois Couronnes.

De l'Alisier au Tulipier de Virginie, Charmilles comprend 65 poésies sur les espèces d'arbres, d'arbustes ou certains végétaux ligneux essentiellement de nos régions.

Oeuvre poétique, ce recueil aborde ces végétaux sous la forme de la fable souvent teintée de merveilleux, parfois d'humour, de gravité ou de réalisme, ou celle du tableau privilégiant l'image et la couleur.

Oeuvre scientifique, Charmilles contient, dans le texte même de la poésie, les critères facilitant l'identification du végétal, ou divers renseignements historique, technique ... permettant de mieux le personnaliser. L'apprentissage de cette connaissance est facilité par 263 notes de commentaires.

La rencontre de la poésie et de la science fait ainsi toute l'originalité de Charmilles, au service de la connaissance et de la protection de la forêt.

Cet ouvrage est recommandé par le comité de l'opération « A l'école de la forêt » (ministères de l'agriculture et de l'éducation nationale).

10.00 euros TTC.

De l'Aubépine à la Violette, Fleurs attables et fables à fleurs comprend plus de soixante-dix poésies sur les fleurs ou les arbres: poésies originales, fables poétiques souvent teintées de merveilleux, parfois d'humour, de gravité ou de réalisme, ou tableaux poétiques privilégiant l'image et la couleur.

Ce recueil est ainsi un bouquet de poèmes pour tous ceux qui sont proches de la nature, mais aussi l'amour, et l'amitié.

10.00 euros TTC.

De la Croix du Baron à la Toile, ce sont treize contes qui composent ce recueil. Treize ! chiffre magique, comme le merveilleux qui parcourt ces lignes, puisé dans l'imaginaire de l'auteur, et dans les légendes forestières de France.

Nés dans les forêts, ces contes accompagneront le lecteur dans ses promenades au bois, ou au retour de celles-ci, pour démultiplier sa perception de l'environnement. Et l'excursion suivante n'en sera que plus originale.

Plaisir de conter, aux enfants, et à ceux qui se réveillent en nous.

Une édition soignée, avec treize illustrations en couleur pleine page, qui convient parfaitement pour un cadeau.

43.00 euros TTC.

Selon l'image en couverture du livre ces treize nouvelles sont comme les marches d'un escalier que l'on gravit pour atteindre ce que le poète considère comme des valeurs vitales à travers les paysages de la vie. Pour cela, l'oeuvre est fortement charpentée à partir des nombres impairs (à l'inspiration de Verlaine), jusqu'au chiffre 13. Le cadre est diversifié comme un feu d'artifice. La première s'ouvre sur la gare de Boussens (31) et les lacs des Pyrénées ; Quelques autres sont sur la trace d'un voleur de mirages en plein désert, ou la quête de l'Homme qui cherche un lac à la Kurosawa, l'appel au chirurgien Ambroise Paré dans une quête d'amour fou sous le gibet de Montfaucon, la vieille malédiction carolingienne de l'Irmensul … La dimension chrétienne est présente avec un étonnant dialogue avec le diable, d'après un poème allemand de Heinrich Heine. Cela n'empêche pas l'influence des mondes japonais et chinois qui culminent dans les quatre nouvelles finales constituant « la crypte ». La quête de la beauté du monde se termine avec la nouvelle Elsa, qui conte l'éveil d'une petite feuille, sous l'égide évidente d'Aragon. Et l'optimisme de l'auteur s'achève avec le chiffre 13, métamorphose notamment d'un tableau de Salvador Dali sur la crucifixion.

Cette oeuvre est une réflexion sur l'homme et le monde, fleurie par l'art poétique, en quête de l'esthétique. La nature, les fleurs, les arbres, la montagne sont toujours présents. Le tout est saupoudré d'un humour salvateur et d'une certaine jubilation d'être. Le titre du feu, et du feu d'artifice s'imposait. Chaleur et lumière.

16.00 euros TTC.

Nous remettons au jour ces poésies centenaires, car elles le méritent. Après avoir lu le Poète, nous avons composé cet ouvrage qui permettra au lecteur de découvrir quelques joyaux.

Le poète est Émile Despax (né à Dax, Landes, en 1881, mort à Moussy-sur-Aisne, la ferme de Metz, en janvier 1915). Il est mort au cours de la Première Guerre mondiale, et son nom figure parmi les hommes de lettres morts au champ d'honneur inscrits au Panthéon.

Parmi ses oeuvres figure la « Maison des Glycines ». Cette oeuvre décrit la confrontation du jeune poète face à l'absence de l'ami qui s'est donné la mort. Emile Despax découvre alors l'horreur du vide laissé par l'absence, et la cruauté des souvenirs liés aux choses ordinaires, comme une pierre ensoleillée, une allée silencieuse … lui, qui ne sait pas encore qu'il croisera la mort en foule sur les champs de bataille de 1915. Mais pour l'instant, c'est lui qui survit, et qui revient à la Maison, à cette « Maison des Glycines » du disparu. La mélancolie de la glycine accompagne celle de l'âme.

Ces dix poèmes sont dans l'esprit et la forme de l'époque. C'est de la poésie classique, parfois compromise au mérite de la rime. Mais on y découvrira aussi de magnifiques passages, et la fulgurance de quelques mots associés qui font briller la phrase comme un joyau. Vraiment, Emile Despax mérite qu'on se souvienne de son art poétique.

« Et bénis la beauté de la vie, en pensant Que ton coeur est pareil au jardin, où l'on sent Tant de roses s'ouvrir et tant d'ailes bruire. »

15.00 euros TTC.