LA CHASSE INFERNALE
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La chasse infernale
Un soir, vers la minuit ...
Tout seul outre le Loir et passant un détour Joignant une Grand-Croix, dedans un carrefour, J’ouïs, ce me semblait, une aboyante chasse De chiens, qui me suivait pas ? pas ? la trace.
Je vis, auprès de moi, sur un grand cheval noir Un homme, qui n’avait que les os ? le voir, Me tendant une main pour me monter en croupe
...
Toutefois, comme nous, ils ont un sentiment, Car le nerf ne sent rien ; c’est l’esprit seulement
Pierre de Ronsard, Hymne des Daimons.
J’avais senti un déplacement d’air contre ma joue, puis soudain un poids sur mon épaule.
Cela s’était posé sur moi.
Je demeurais immobile, pétrifié, comme la croix blanche du carrefour au pied de laquelle j’étais assis.
Et puis cela était parti, aussi subitement.
Je ne sais si c’était un vol, ou une marche, ou autre chose.
Mais cela était.
Car ? ce moment, une voix venant de nulle part, aiguë, faible et plaintive, murmura tout près :
- pardonne moi !
Je me retournais, me levais, pour faire le tour de la croix.
Il n’y avait personne.
Aux alentours, ce n’était que champs qui étalaient leur morne horizon, sous la légère brume qui les couvrait, et l? -bas, la forêt.
Pour me rassurer, je parlais ? haute voix :
- non, il n’y a pas âme qui vive, en ce lieu !
Je ne croyais pas si mal dire.
***
C’était un 28 décembre.
Je venais de passer les fêtes en Nébouzan, chez un vieil ami.
Il avait une ferme plongée au milieu des champs, une sorte de bastide, flanquée de quatre tours d’angle, et lézardée comme l’écorce d’un brandon.
La traditionnelle soupe aux choux, mijotée au coin du feu, suivie des gratons, puis de la truite aux cèpes, et enfin du millas (pâte de mais frite et sucrée), le tout arrosé d’une eau-de-vie aux prunes, nous avaient mis d’humeur joyeuse, quoi que légèrement assoupis.
La pièce était grande, et la chaleur du large foyer attirait.
Nous avions discuté longtemps, l’après-midi, au bord des bûches de chêne ; le bois jetait de longues flammes jaunes qui montaient en ligne le long des fentes, et faisaient valser l’air ; de temps ? autre, quelques fibres éclataient, jetant dans la pièce le crépitement chaud et sec d’une escarbille.
Dehors, il faisait froid. Il gelait, dans ces Pyrénées centrales.
Au loin, les hautes cimes découpaient l’horizon, sous la neige étalée, majestueuses, altières.
A travers la croisée, les champs silencieux dormaient.
Ici et l? , un pommier nu, comme tracé ? l’encre de Chine.
Parfois, un mouvement, un oiseau, un corbeau.
Vers les cinq heures, la nuit s’avançant ? pas de loup, j’avais décidé de prendre un peu l’air.
Raymond avait ? faire - les vaches.
Je sortais donc seul, sous un ciel sans nuages, bas et morne, dans une lumière qui flottait ? travers le paysage, comme une brume sans port et sans attache.
L’air froid me mordait le visage, et me ravigotait.
J’allais d’un pas sûr et tranquille, en me dirigeant du côté de la forêt.
J’avais fait ? peu près trois kilomètres, quand j’arrivais ? ce carrefour.
Une grande croix, en pierre de schiste bleue, s’y dressait sur un socle ? trois marches.
Profitant de ma vraie solitude, si rare dans nos villes, je m’asseyais.
Ici, je méditais un peu, investi par l’espace alentour, et je cueillais les impressions qui me venaient, les confiant ? la complicité confidentielle de mon carnet.
C’était une de mes activités aimées.
Surtout dans cette période où la nature semble se recueillir, s’abandonner au temps.
Et lui-même semble s’immobiliser, geler dans quelque fossé couvert de graminées superbement empanachées de givre.
Je méditais sur le célèbre poème “ La nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L’homme y passe ? travers des forêts de symboles Qui l’observent avec des regards familiers ” .
J’en étais donc l? , littéralement de ma contemplation, sans me douter qu’une telle familiarité allait m’advenir.
Aux alentours, ce n’était que champs qui s’étalaient vers l’horizon, bordés d’une légère brume.
L? -bas, la forêt trouait de sa dentelle grise la blancheur du paysage.
Ma curiosité était ? son comble.
Mais l’objet se dérobait.
Il n’y avait rien.
Je fis plusieurs fois le tour de la croix.
Je levais les yeux vers elle, et son élévation qui semblait alors crever les nuages.
Elle portait un Sens, connu de l’autre monde.
Mais ici j’étais seul, avec ce passage furtif, comme l’aile d’un oiseau.
Je n’éprouvais aucune peur, simplement une interrogation.
Le crépuscule allait rampant sur la plaine de la Garonne, comme un voleur de clartés.
Je décidais donc de rentrer.
Je connaissais la voie, anciennement romaine, et arrivais ? la nuit tombée ? la ferme-bastide.
Au cours du repas, j’abordais la question, je racontais mon aventure.
Il y avait l? le grand-père.
Son béret noir faisait tellement partie de lui, qu’il oubliait de l’enlever ? table, et la grand-mère n’était plus l? pour le lui reprocher.
L’âge et le soleil lui avaient tanné la peau, ridée par les labours.
Il passait une grande partie de son temps ? dormir.
Mais l? , il m’écouta avec attention, et soudain s’anima.
Ses deux dents luirent dans la pénombre de son sourire.
Dans le plissement de la commissure des yeux sourdait une sorte de jubilation, naissant du plaisir de révéler un secret, mais surtout de renouer, de revivre une connaissance des anciens.
Il était pont entre les deux rives des âges.
Il commença sa première phrase en patois, et continua en français.
Il racontait que ce qui m’était arrivé n’était pas nouveau, mais que depuis longtemps, des choses curieuses étaient survenus ? ce carrefour, et près de la forêt.
Les registres de la commune avaient mentionné certains faits dès la Grande Révolution, sous la Terreur, et il paraît que ce n’était pas les premiers, mais l? , la mémoire se perdait.
La croix du carrefour ne datait que de 1875, comme le mentionnait une inscription ; mais elle était sise sur un ancien socle qui portait avant une autre croix, remontant au temps des Rois.
On racontait depuis longtemps que les lieux étaient ensorcelés, comme on disait jadis.
Surtout ce carrefour, ? l’angle de forces inconnues.
On disait autrefois qu’? certaines périodes de l’année, surtout entre la Noël et l’Epiphanie, des âmes s’y perchaient.
Et qu’il était déj? arrivé que se trompant de support, ou voulant s’amuser ( ?), elles se posaient sur l’épaule d’un promeneur qui s’attardait l? .
Certains avaient, comme moi, entendu une voix.
Il y avait même un témoignage vers 1908, d’un paysan qui avait discuté longuement avec une de ces âmes, et qui par la suite avait prédit de sombres événements.
Dans la presse spécialisée, on avait rapproché ce témoignage sur l’au-del? de divers autres, dont les célèbres expérience de Victor Hugo.
Mais les rencontres originales d’ici n’avaient aucun caractère dramatique.
Je ne savais pas, ? cette table, que c’était moi qui allait connaître une telle aventure, pour la première fois - ? moins que d’autres, avant moi, se soient tus.
***
Le lendemain, la curiosité me taraudant, je revenais le matin sur les lieux ; je m’assis au même endroit que la veille, au pied de la croix.
Je m’étais habillé chaudement, car il neigeait sur la plaine, finement, mais de manière drue.
C’était comme un voile de lin, aux dix mille fils, qui se tendait entre le sol et les nuées.
J’attendis ? peu près une heure.
Mais rien ne se passait.
Comme le froid me pénétrait, je me levais, fis quelques pas autour de la croix, regardais de tous côtés, et même au ciel - car après, tout, les âmes errantes, d’où viennent-elles ? Mais, non, seul le silence régnait.
Les flocons couvraient le sol, et leur ballet nonchalant était le seul mouvement qui animait ce paysage.
Lassé de ma position, je décidais de marcher.
Je dirigeais mes pas vers la forêt dont la ligne dentelée se découpait sur l’horizon.
En un quart d’heure, j’arrivais en lisière.
Des églantiers faisaient éclater l’orangé-rouge de leurs cynorhodons sous de petits chapeaux de givre.
Au sol, quelques rares feuilles festonnées étalaient leur mosaïque de couleurs vives.
Certaines, trouées par le froid, n’avaient plus de limbe ; leurs frêles nervures composaient une architecture si délicate qu’on pouvait se demander quelles merveilleuses petites mains avaient composé pareils joyaux.
J’allais ainsi, de continents en continents, prenant des photographies, et ayant quitté la lisière pour m’enfoncer dans la forêt de feuillus.
Seuls les chênes avaient conservé leurs feuilles brunies par le froid.
J’étais parvenu en bordure d’un bosquet de noisetiers, dont le maillage des tiges était si dense qu’il était impossible d’y voir ? travers, en dépit de l’absence de feuilles.
Une sente y pénétrait ; je la suivais.
Je promenais mon regard sur le sol, pour examiner quelques traces d’oiseaux.
C’est alors que, relevant les yeux, je distinguais ? travers le taillis, des couleurs vives.
Intrigué, je m’approchais en silence.
Je parvenais ainsi aux portes d’une clairière, tout en étant encore abrité du regard d’autrui.
Il y avait au centre de cet espace un grand chêne.
Curieusement, ce chêne était vert.
Ses branches tutélaires se déployaient horizontalement, au-dessus d’une foule de gens.
A en juger, du point où j’étais, ce n’était pas gens de notre époque.
Il y avait l? des hommes et des femmes, richement vêtus, en tenue de chasse, assis dans l’herbe, qui ? cet endroit avait les couleurs du printemps.
Certains portaient un écusson, représentant un chevalier monté, l’épée ? la main, qui me sembla être celui de l’ancien comté de Comminges.
Sur un côté, des piqueurs entretenaient les chiens de tout un équipage.
Tout ce beau monde riait, et la joie la plus vive animait ce banquet, mais chose étrange, on n’entendait rien.
Comme statufié, je ne bougeais pas.
C’est alors qu’une femme se détacha du groupe, et se dirigea vers moi.
Elle était coiffée d’un hennin, et portait un surcot et une cape, blancs.
Elle était de petite taille.
Quand elle fut près, son visage m’apparut dans tout son éclat.
Mais ce qui me frappa le plus, ce fut l’expression des yeux.
Ils étaient joyeux, gais, et portaient l’insouciance de la jeunesse dont le temps n’est pas compté.
Les neiges des Pyrénées n’y avaient pas éteint le feu sacré de la Vie.
Elle me tendit le bras droit, non pas ? hauteur de mes lèvres, mais incliné.
Je posai alors ma main sur sa main.
Etait-ce la neige alentours, le froid ambiant ? Je ne sentis aucune chaleur ? ce contact.
Nous allâmes vers le groupe, qui s’était immobilisé, les regards tournés vers nous.
A notre approche, plusieurs personnes inclinèrent le buste, en signe de respect ou de bienvenue.
De près, je constatais que tout ce monde paraissait fraîchement sorti du XIIème ou du XIIIème siècle.
Où peut-être est-ce moi qui y était entré ? C’était des hommes et des femmes de tous les âges, animés d’une force curieuse.
Après un court instant, la dame blanche me fit un gracieux sourire, s’inclina légèrement, et regagna sa place.
Chacun d’ailleurs avait repris ses occupations.
Ils parlaient, riaient, chantaient même, mais je n’entendais rien.
Le temps s’écoula, incertain, indistinct.
Puis, ils se levèrent, et montèrent sur leurs chevaux.
Un homme barbu et chevelu, vêtu de noir, et coiffé d’un chapeau vert ? plume, fut alors près de moi.
Je ne l’avais pas aperçu, ni vu venir.
Il me déplut instinctivement.
Il avait la pupille rouge, et un air narquois.
Il parla - c’était la première fois que j’entendais ici une voix.
Celle-ci résonnait comme au bout d’un long tunnel. Mais elle était douce et feutrée.
- Voulez-vous nous suivre ?
Un cheval se tenait ? ses côtés, dont il me tendait la bride.
J’hésitais un instant ; il reprit, d’un air emphatique et joyeux :
- c’est la Chasse !
Ma folie fut de monter en croupe.
Je ne sais ce qui me prit.
Etait-ce le ton de l’invitation ? Etait-ce l’effet de groupe - la foule des gentilshommes et belles femmes nous attendaient, déj? en selle ?
Etait-ce le goût de l’aventure, inscrit en moi ? Toujours est-il que je montais.
L’être noir fit un signe de main.
Aussitôt, l’équipage s’ébranla.
Il y eut comme un obscurcissement.
Je sentis qu’un vent violent soufflait.
Je me rendis alors compte que les étoiles brillaient au-dessus de moi. Il faisait nuit.
En dessous, c’était également le noir.
Où plutôt, quelques étoiles brillaient.
Non, ce n’était pas la même lumière.
En me penchant sur l’encolure de mon cheval, je crus deviner les lueurs de maisons.
Oui, c’était des habitations ! J’étais donc au-dessus ; un frisson me parcourut ; ce n’était pas le froid.
D’ailleurs, je n’avais pas froid, ni chaud ; c’était étrange.
A ma droite et ? ma gauche, et devant, d’autres chevaux galopaient.
C’est alors que mes oreilles se débouchèrent.
J’entendais.
C’était d’abord des aboiements, des hurlements : la meute, énorme, devant. Puis c’était des sonneries de cors, répercutés de loin en loin, de tronc en tronc, comme si nous étions dans une forêt imaginaire.
C’était aussi les relances des piqueurs, des cris sauvages, qui appelaient le sang.
Je regardais les cavaliers qui me jouxtaient.
Les corps étaient tendus en avant, et les visages exprimaient une fièvre intense, acharnée, la fièvre de la chasse, mais portée ? son paroxysme, presque inhumain, qui tordait les traits dans une expression terrible.
Quel contraste y avait-il avec les visages du banquet ! C’était une chasse endiablée.
Je ne sais ? quelle hauteur nous chevauchions.
Mais ce n’était pas très élevé, car ? certains moments, nous passions si près d’une forêt que les sabots de mon cheval secouaient fortement les feuillages.
La forêt entière semblait frémir de notre équipée.
Tout cela aurait pu m’inquiéter.
Curieusement, il n’en était rien.
J’étais comme un observateur étranger ? ce phénomène, et donc calme.
Pourtant, j’en faisais bien partie.
Etais-je possédé, comme tous les autres - car je ne doutais pas que ce bel équipage le fut ?
Une question me vint.
Quel gibier poursuivions-nous ?
Je pressais ma monture.
J’arrivais ainsi progressivement ? proximité de celui qui était en tête de l’équipage, sans avoir d’ailleurs repéré l’homme noir.
Devant moi, devant la meute, une chose courrait.
Je dis bien, courrait.
Car je vis très vite une silhouette humaine.
Oui, c’était bien un homme.
Il allait vite, très vite, sautant des obstacles que je ne voyais pas.
La meute était sur ses talons, et un ou deux chiens le mordaient aux jambes.
Parfois, l’être traqué prenait de la distance, et se retournait.
Une expression de terreur se lisait sur son visage.
Une peur intense, éternellement renouvelée, et terriblement résignée, comme si cette chasse, ce châtiment, durait depuis des siècles et n’aurait pas de fin.
A ce moment l? , l’être noir fut ? côté de moi.
Sur un cheval de même couleur.
Il lança un “ taïaut ! ” sonore.
Dans son regard, il y avait toutes les flammes de l’enfer, immense, un autre monde grésillant ; et ses yeux pétillaient d’allégresse, il jubilait.
Un rictus terrible tordait sa bouche, comme s’il allait lui-même mordre.
J’eus ? ce moment l? un intense sentiment de pitié pour cette silhouette frêle qui courrait devant nous.
Quel supplice d’un autre temps !
Mais que pouvais-je faire ?
Et moi-même, qu’allait-il m’advenir ?
L’homme courrait toujours, et il courut longtemps.
Cela me parut une éternité, dans cet hallali sans fin, mais ce fut le temps d’une nuit.
Quand les premières lueurs de l’aube pointèrent sur l’horizon, tout prit soudainement une teinte pâle, diffuse, transparente, puis soudainement invisible.
***
Je me retrouvais près de la croix.
L’aube se levait.
J’écarquillais les yeux ; avais-je rêvé ?
J’allais m’asseoir sur les marches.
C’est alors que je sentis un déplacement d’air contre ma joue, puis soudain un poids sur mon épaule.
Elle s’était posée sur moi.
Une voix venant de nulle part, murmura :
- merci ! Tu m’as sauvé ! Cette nuit, depuis des siècles, tu es le premier ? avoir eu pitié de moi ! Je peux enfin partir.
Merci beaucoup.
Et puis, la voix se tut.
Je souris, intérieurement.
Je savais qui était cette voix.
Je ne fis pas le tour de la croix.
***
Je ramassais mon sac, me levais, et revint sur le chemin de terre qui conduisait ? la ferme.
Au loin, une quatre RL arrivait.
C’était Raymond.
Son visage exprimait l’inquiétude.
- Et alors, d’où sors-tu ?
Il serra mon bras, comme pour vérifier ma matérialité.
- Tu sais que l’on te cherche depuis hier soir ?
J’allais ce matin prévenir la gendarmerie ! Tu as passé la nuit dehors, par ce froid ?
J’eus presque du mal ? le convaincre que j’étais parfaitement bien. Il en était tout étonné.
***
C’est plus tard, près de la cheminée pétillante de chaleur, confortablement installé dans un fauteuil, et avec une petite prune, que je racontais mon incroyable aventure ? Raymond et ? son père.
Chose extraordinaire, le vieux paysan enleva son béret.
Il le faisait tourner entre ses mains en regardant fixement le feu.
- Tu vois, mon gars, ce gars-l? , devant la meute, ? son époque, il avait sûrement quelque chose ? se reprocher, et sûrement du vilain.
Le chêne jeta une superbe escarbille, qui monta comme une fusée de feu d’artifice, avant de retomber sur la plaque d’étain du foyer, en libérant un petit panache de fumée.
Le vieux paysan tourna vers moi son visage ? demi éclairé par l’âtre.
- Comme quoi, il y a une justice dans l’autre monde !
Et en vidant son verre, où miroitait la prune mauve de l’automne :
- et cela fait bougrement plaisir !
Castelmauzin 8 février, devant la croisée des chemins.
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